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24 janvier 2009 6 24 /01 /janvier /2009 15:55

Mercredi soirée, fut une soirée très spéciale puisqu’elle fut l’occasion d’officialiser l’au revoir de Samuel, Florian, Sylvain, Nicolas et Hélène.


Ils avaient programmé cette soirée pour qu’elle reste inoubliable. Au programme : 
 L’apéritif et oui !! Quoi de plus naturelle que de partager un verre ensemble avant de passer à table.

Ensuite, nous nous sommes mis à table avec un repas préparé par de nombreux étudiants de l’ESGT, Damien mais également Myriam (je ne t’ai pas oublié !!). Damien avait mis tout son cœur à la réalisation de dessert, merci. Nous avons donc partagé ce repas qui avait reçu une bénédiction spéciale puisque nous avions également béni les étudiants qui allaient faire la vaisselle et le ménage.

Nous nous sommes installés pour un sketch de Florian sur les nouveautés technologiques, un sketch de Samuel sur ses années de l’aumônerie (déguisé en fille par son balai dans la main, original non!!)

   

un sketch improvisée de Corinne sur la patience face aux démarches de changement d’opérateur téléphonique, un sketch de Samuel et Damien sur leurs vies de résidents,

   

un jeu comprenant des questions sur l’aumônerie et l’ESGT et la chanson de Patrick Bruel : la place des grands hommes.



Attention cette soirée n’était pas encore finie, il y avait bien entendu après la musique menée par Florian. Comment va-ton faire sans lui et son ordi !!! Il va falloir qu’il revienne nous voir !!

Puis comme la nuit était tombée sur l’aumônerie, nous avons joué au loup-garou autour du meneur de jeu et d’une boisson chaude (café, thé et infusion).

Cette soirée fut vraiment agréable et sympathique, elle représente bien ce qu’étaient, sont et seront toujours nos chers étudiants de l’ESGT.


Bonne continuation à Samuel, Florian, Nicolas, Sylvain et Hélène.

  
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19 janvier 2009 1 19 /01 /janvier /2009 14:17
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15 janvier 2009 4 15 /01 /janvier /2009 07:52

Au lendemain de notre 31ème rencontre européenne de jeunes, ce qui me remplit le cœur, c'est en premier lieu une grande reconnaissance pour l'accueil que nous avons reçu à Bruxelles et dans la région environnante. Des milliers de familles ont hébergé la presque totalité des participants. Que des personnes ouvrent leurs portes à des jeunes qu'elles ne connaissent pas, venus d'autres pays, dans une période où l'on a souvent peur des étrangers, cela met en lumière la communion de l'Eglise et approfondit une compréhension mutuelle entre peuples. L'hospitalité est un geste par lequel tous peuvent devenir, très simplement, porteurs de paix dans la société.

Cette rencontre a été préparée en étroite collaboration avec les chrétiens de Bruxelles. Des frères de notre communauté ont vécu plusieurs mois dans la ville pour travailler à cet accueil, ensemble avec les paroisses. Ainsi ceux qui sont venus de toute l'Europe ne se sont pas seulement rencontrés entre eux, mais ont fait l'expérience d'une église locale, et cela peut les encourager à s'engager, de retour chez eux, dans leur propre église locale, leurs paroisses : ils découvriront que, même à deux ou trois, il est possible de s'entraîner mutuellement à prier, à approfondir la confiance en Dieu.

A Bruxelles, chaque matin, ils se sont réunis dans la paroisse où ils étaient hébergés, ils ont prié ensemble, ils ont échangé avec les gens de la paroisse. A midi et le soir, nous nous sommes retrouvés tous ensemble pour les prières communes dans de grands halls d'exposition aménagés en lieux de prière. Ces prières communes rendaient visible un reflet de l'universalité de l'Eglise. Cœur de la rencontre, elles pouvaient soutenir une interrogation intérieure proposée à chacun : comment désensabler en nous la source d'espérance et de joie ? N'est-ce pas avant tout en cherchant à découvrir la présence d'un Dieu d'amour dans notre vie ?

Alors que l'horizon s'assombrit pour beaucoup, il était important que ces milliers de jeunes se réunissent pour redire l'espérance qui les anime pour leur vie personnelle, pour la société, pour le monde. Cette espérance se nourrit de la conviction qu'une nouvelle fraternité entre les hommes peut naître. Une nouvelle solidarité peut renouveler la vie de nos sociétés. Etre rassemblés dans une si belle communion ouvre même à une nouvelle compréhension de Dieu.

Même si des milliers de jeunes sont ensemble, une telle rencontre n'est pas une réunion de masse. Les échanges personnels en petits groupes y tiennent une grande place. Les après-midi, les jeunes ont réfléchi à de nombreux thèmes grâce à des carrefours. J'en donne quelques exemples. Certains thèmes étaient explicitement liés à la recherche de Dieu : 'comment découvrir l'appel de Dieu dans ma vie ?' D'autres carrefours ont abordé des questions de société : 'quelles actions sont possibles pour une économie plus solidaire ?' Deux commissaires européens ont été présents et ont animé deux carrefours sur l'Europe. L'art et la musique n'ont pas été oubliés. Deux carrefours ont visé la rencontre des cultures : des chœurs musulmans et chrétiens ont chanté en alternance, des chants du monde ont été présentés par des chorales de communautés chrétiennes vivant à Bruxelles.

Beaucoup de jeunes sont allés prier un moment dans un lieu aménagé pour ceux qui cherchaient le silence. Là ils avaient aussi la possibilité de recevoir le sacrement de réconciliation, ou simplement d'être écoutés. Ils ont été nombreux à confier une question, une souffrance ou une joie. Voyant combien c'était important pour eux, je me disais : comment vivre mieux le ministère d'écoute dans nos Eglises ? Des hommes et des femmes y sont prêts et peuvent le faire. Etre accueilli personnellement, se confier à quelqu'un est essentiel pour retrouver toujours à nouveau la confiance en Dieu.

Comme la rencontre européenne se tenait cette année à Bruxelles, siège des institutions européennes, il est apparu important d'adresser à l'Union Européenne un message traduisant les attentes et les espoirs des jeunes, reflétant aussi les questions souvent entendues de leur part.

Accueillant des jeunes depuis tant d'années à Taizé ou dans des rencontres comme celle de Bruxelles, nous constatons que s'est créée une conscience européenne dans les nouvelles générations. Une connaissance mutuelle entre pays européens s'approfondit. Les jeunes veulent une Europe ouverte et solidaire des pays les plus pauvres. Ils voudraient que les institutions européennes fassent tout pour aller dans ce sens.

Quinze jours avant la rencontre, je suis allé à Bruxelles apporter ce message à Monsieur José Manuel Barroso, président de la Commission européenne. Par cette démarche je voulais exprimer l'espérance que notre «pèlerinage de confiance sur la terre» porte des fruits aussi au niveau de la vie des sociétés et que se produise un rapprochement : que les jeunes comprennent mieux le travail des institutions européennes et que celles-ci soient plus à l'écoute des aspirations des jeunes.

L'Europe a réussi à ouvrir une période de paix sans précédent dans l'histoire. Ce sont des chrétiens qui ont osé amorcer des réconciliations inespérées entre peuples européens. Est-ce que les jeunes continueront à bâtir cette paix ? Vont-ils contribuer à construire une Europe ouverte et solidaire ?

A la fin de la rencontre, une question était posée : quels engagements sont à notre portée face à la complexité des problèmes qui nous entourent, la pauvreté, les injustices, les menaces de conflits ? N'est-ce pas d'aller vers les autres, dans une grande simplicité ? Aller vers les plus vulnérables. Visiter ceux qui sont exclus ou abandonnés. Chercher à accomplir des signes concrets d'une Europe ouverte et solidaire, pensant en particulier aux immigrés si proches et pourtant souvent si loin.

Pourquoi, avec mes frères, consacrons-nous tant d'énergies à préparer de telles rencontres ? C'est que, pour beaucoup de jeunes qui cherchent une confiance en Dieu, les paroles d'un enseignement ne suffisent plus aujourd'hui. Une expérience de communion, de la communion de l'Eglise, est indispensable pour mieux comprendre l'Evangile.

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4 janvier 2009 7 04 /01 /janvier /2009 08:11
Les Mages ouvrent leurs coffrets et offrent à l'Enfant de l'or, de l'en­cens et de la myrrhe. Depuis toujours on a interprété ces trois dons. Irénée de Lyon, au IIe siècle, voit signifiées dans l'or la dignité royale de l'enfant, dans l'en­cens sa divinité et dans la myrrhe sa mort sur la croix. Pour Karl Rahner, l'or évoque notre amour, l'encens notre nostalgie et la myrrhe nos souffrances; dans ces présents, il ne voit donc pas des images du mystère de l'Enfant divin, mais les signes du don que nous lui faisons de nous-mêmes, des attitudes humaines qui rendent au Dieu fait homme les honneurs qui lui sont dûs. La Légende dorée connaît d'autres interprétations encore. Les Rois ont offert de l'or à cause de la pauvreté de Marie, « de l'encens à cause des mauvaises odeurs de l'étable, de la myrrhe pour fortifier les membres de l'enfant et chasser les vers nuisibles ». On voit encore l'or signifier la divinité, l'encens l'âme pieuse et la myrrhe, qui protège de toute impureté, la pureté du corps. À l'évidence, les Anciens se plaisaient à investir leur imagination dans ces présents des Mages.

L’or a de tout temps fasciné les hommes. Les Anciens parlaient de l'éclat doré des dieux. Pour Clément d'Alexandrie, la sagesse du Christ, incarnation du Logos impérissable, est l'or de la royauté. L'or est purifié par le feu; rien ne doit lui être mêlé. L'or est depuis toujours utilisé dans les cultes; il convient aux dieux. Il ne manifeste pas seulement la nature divine de l'Enfant couché dans la crèche, mais aussi l'éclat de l'or dans notre âme. Nous ne sommes pas en effet de purs et simples êtres terrestres, mais aussi des êtres célestes; notre âme reflète l'éclat doré de la divinité, à laquelle nous avons part, notre visage est illuminé par la majesté de Dieu.

L'encens est utilisé par de nombreuses civilisations pour son agréable parfum. Sa fumée qui monte vers le ciel est l'image des prières que nous adressons à Dieu, du désir qui nous fait chercher un au-delà du quotidien; ce désir monte vers le ciel tout comme la fumée de l'en­cens, il en a la légèreté, rien ne peut le retenir sur la terre; l'un et l'autre passent à travers les portes fermées, ouvrent et élargissent nos cœurs. L'encens sent bon, son parfum remplit notre vie d'un goût de mystère et de divinité. Quand j'étais au mont Athos, le parfum tout particulier de l'encens qui s'y brûle m'a fasciné; Les églises y sont remplies de ce parfum, ce qui éveille un sentiment de mystère, l'impression que l'on est chez soi, au pays natal, en sécurité, mais en même temps plein d'un amour nostalgique. Long­temps après qu'elle s'est élevée, la fumée de l'encens laisse dans tout l'espace une odeur bien particulière; je la respire consciemment, et je ressens alors le goût de la divinité. Certaines odeurs font resurgir en moi, dès que je les perçois, des sentiments intenses qui me renvoient au passé. Le parfum du foin évoque mes vacances ; cette expérience du loisir, je ne la fais pas dans ma tête seule, mais dans tout mon corps. Il en va de même du parfum de l'encens; il me fait respirer la mystérieuse présence de Dieu, je la saisis par mon corps tout entier.

Pour les Anciens, la myrrhe est une plante du paradis; elle évoque l'état originel auquel nous aspirons tous. Mais la myrrhe, c'est aussi une plante médicinale, un baume pour toutes nos blessures; en offrant à Dieu la myrrhe, c'est elles que nous lui présentons : ce que nous avons de plus précieux, les nombreux stigmates que nous a laissés notre vie. Ces blessures ont ouvert notre cœur; elles nous ont obligés à prendre une distance en face des richesses extérieures. Ce que nous avons de plus précieux, c'est un cœur capable d'amour. Or nos blessures nous ont mis en contact avec notre cœur; c'est lui, blessé, brisé, que nous offrons à l'Enfant divin, assurés qu'il va le guérir, le métamorphoser. Quand nous lui présentons notre vie blessée, abîmée, nous pouvons avoir l'impression que tout est en ordre; nous n'avons plus de ressentiment, nous nous abandonnons, tels quels, à l'amour lumineux qui émane de l'Enfant. Alors, en dépit de toutes nos misères intérieures et extérieures, nous sommes au paradis.

Cherche, toi qui me lis, ce que dans ta situation d'aujourd'hui tu peux offrir, et présente-le à l'Enfant divin; laisse-toi guider par l'image qui est pour toi la plus parlante. Elle te conduira vers lui, elle te permettra de te prosterner devant Celui qui te donne l'impression d'être arrivé au but, devant qui tu peux t'oublier toi-même, cesser de tourner en rond dans ton Moi. Si tu y parviens, alors tu seras entièrement ce que tu es dans ta vérité, tu seras vraiment libre. fin

Grün, Anselm, Petite méditation sur les fêtes de Noël, traduit de l’allemand par Claude Maillard. Albin Michel, Paris, 1999

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4 janvier 2009 7 04 /01 /janvier /2009 06:42
Méditation du Frère Alois  lors de la Rencontre de Taize  à Bruxelles




Notre reconnaissance est grande pour l’accueil que nous avons reçu. Merci de tout cœur à ceux qui ont ouvert leurs portes. Merci aux responsables des Eglises qui ont soutenu toute la préparation. Merci aussi aux autorités civiles qui ont apporté leur collaboration. Ces jours nous avons fait cette expérience : être rassemblés dans une si belle communion fait naître une espérance pour notre vie personnelle, pour la société, pour le monde. Cette communion vécue concrètement nous ouvre même à une nouvelle compréhension de Dieu. Tous nous voudrions, de retour chez nous, transmettre cette espérance. Il importera alors de revenir constamment à la source. Cette source est là, tout près de nous, et même en nous. Elle est dans une communion personnelle avec le Christ. Chaque matin, écoutons son amour ! Il nous rend à la vie. Je vous ai rappelé que, pour cheminer dans la foi, nous avons ce trésor qu’est la Bible. Parfois nous n’en retenons qu’une seule parole, l’important est de la mettre en pratique. C’est en la mettant en pratique que nous la comprenons mieux. Alors chacun pourra quitter Bruxelles en se demandant : quelle parole m’a touché que je peux mettre en pratique ? Dans votre vie de foi, ne restez pas seuls ! Dans votre Eglise locale, même à deux ou trois il est possible de vous entraîner mutuellement à prier, à approfondir la confiance en Dieu. Nous, les frères de Taizé, nous voudrions tellement vous soutenir partout où vous êtes. Mais nous sommes une petite communauté qui a d’abord vocation de vivre une vie fraternelle soit à Taizé, soit dans nos diverses fraternités. Pour ma part, avec quelques frères, je serai heureux d’aller cette année dans plusieurs pays. Début mai nous aurons pour la première fois une étape du pèlerinage de confiance dans les pays baltes, avec une rencontre à Vilnius, en Lituanie. Puis d’autres étapes du pèlerinage à Séville, en Espagne, plus tard à Stuttgart en Allemagne et à Pécs en Hongrie. Ces jours beaucoup d’entre vous ont prié un moment dans le lieu de silence. Là il y avait aussi la possibilité de recevoir le sacrement de réconciliation, ou simplement d’être écouté. Vous avez été nombreux à confier une question, une souffrance ou une joie. Comment vivre mieux le ministère d’écoute dans nos Eglises ? Des hommes et des femmes y sont prêts et peuvent le faire. Etre accueilli personnellement, se confier à quelqu’un est essentiel pour retrouver toujours à nouveau la confiance en Dieu. Ce que nous cherchons au plus profond de nous-mêmes c’est la paix, la paix du cœur, et la paix pour toute la famille humaine. Saint Ambroise disait : « Commencez en vous l’œuvre de paix, de sorte qu’une fois pacifiés vous-mêmes, vous portiez la paix aux autres ». Dieu nous donne cette paix. Mais il ne l’impose pas d’en haut. L’Evangile raconte la manière inouïe dont Dieu agit avec l’humanité. Il demande à chacune et à chacun de participer à son œuvre de réconciliation et de contribuer à créer une nouvelle fraternité entre les humains. Quels engagements sont alors à notre portée face à la complexité des problèmes qui nous entourent, la pauvreté, les injustices, les menaces de conflits ? N’est-ce pas d’aller vers les autres, dans une grande simplicité ? Allons vers les plus vulnérables ! Visitons ceux qui sont exclus ou abandonnés ! Cherchons à accomplir des signes concrets d’une Europe ouverte et solidaire, pensons en particulier aux immigrés si proches et pourtant souvent si loin ! Nous découvrirons ainsi la présence du Christ même là où nous ne l’aurions pas attendue. Ressuscité, il est là, au milieu des humains. Il nous devance sur les chemins de la compassion. Et déjà, par l’Esprit Saint, il renouvelle la face de la terre, il rend possible une espérance.
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1 janvier 2009 4 01 /01 /janvier /2009 00:00
                            
Le
Seigneur dit à Moïse :  « Voici comment Aaron et ses descendants béniront les fils d'Israël :  'Que le Seigneur te bénisse et te garde ! Que le Seigneur fasse briller sur toi son visage, qu'il se penche vers toi !  Que le Seigneur tourne vers toi son visage, qu'il t'apporte la paix !'  C'est ainsi que mon nom sera prononcé sur les fils d'Israël, et moi, je les bénirai.
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28 décembre 2008 7 28 /12 /décembre /2008 07:50
Samedi 27 décembre 2008

Arrivée d’environ 1500 jeunes, qui viennent pour aider aux derniers préparatifs et accueillir ceux qui arrivent le 29 décembre.

Lundi 29 décembre

Le matin : arrivée des jeunes dans différents lieux d’accueil au centre de Bruxelles. Chaque participant reçoit le programme de la rencontre, un ticket pour les transports publics, un ticket pour les repas du midi et du soir à Brussels Expo et un plan pour rejoindre la paroisse où il sera accueilli.
Pendant toute la journée, accueil dans les paroisses, d’où les jeunes sont envoyés vers leurs hôtes.
17h30 : repas du soir à Brussels Expo
19h00 : prière commune à Brussels Expo
Vers 22h00 : retour chez les hôtes.

Mardi 30 décembre

8h30 : prière commune dans les paroisses d’accueil, suivie d’échanges en petits groupes et de rencontres avec des personnes engagées dans la vie de la paroisse ou du quartier.
12h00 : repas de midi à Brussels Expo
13h15 : prière commune à Brussels Expo
L’après-midi à Brussels Expo et dans différents lieux au centre de Bruxelles : carrefours au choix avec des thèmes sur la vie intérieure, sur des questions de société…
17h30 : repas du soir à Brussels Expo
19h00 : prière commune à Brussels Expo
Vers 22h00 : retour chez les hôtes

Mercredi 31 décembre

Comme mardi 30 décembre puis à
23h00 : dans les paroisses, prière pour la paix, suivie d’une « fête des peuples ».
Vers 2h00 du matin : retour chez les hôtes

Jeudi 1er janvier 2009

Participation aux célébrations dans les paroisses d’accueil, puis repas chez les hôtes.
L’après-midi à Brussels Expo et dans différents lieux au centre de Bruxelles : rencontres par pays
17h30 : repas du soir à Brussels Expo
19h00 : prière commune à Brussels Expo
Vers 22h00 : retour chez les hôtes

Vendredi 2 janvier

8h30 : prière commune dans les paroisses d’accueil
A partir de 13h00 : départ des bus de Brussels Expo et d’autres lieux du centre de Bruxelles.

Le programme définitif à télécharger :

PDF - 1.3 Mo
Programme de la rencontre
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28 décembre 2008 7 28 /12 /décembre /2008 07:46

Dieu Notre Père,
Nous attendons dans la joie ces jours où des jeunes viendront à Bruxelles, par dizaines de milliers,
pour la rencontre européenne de Taizé.
Ce sera le temps de Noël
et ton Fils naîtra à nouveau au sein de la ville et dans le cœur de tant de ses habitants.
Comme jadis les bergers,
ils viendront à la crèche pour adorer l’Enfant.
Ils seront les nouveaux Mages
venus d’Orient et aussi d’Occident
avec leurs cadeaux :
l’or précieux de leur foi,
l’encens de leur espérance, qui s’élève vers le ciel,
la myrrhe parfumée de leur amour
pour Toi et pour tous les hommes.

Bénis notre ville et transforme-la en lieu de paix et de réconciliation,
de rencontre et de communion dans la prière.
Que les anges chantent au-dessus d’elle :
"Gloire à Dieu au plus haut des cieux
et paix sur la terre aux hommes qu’Il aime !"

Permets à tous ceux qui rejoindront cette ville
de reprendre ce refrain des anges et de chanter la paix et la réconciliation.
Alors elle deviendra une étape de notre pèlerinage à tous
vers la Cité nouvelle, la Jérusalem d’En-haut,
là où se rassemblent les foules innombrables devant le Trône,
hommes de toutes langues et peuples, races et nations,
en chantant :

Gloire à l’Agneau immolé !
Gloire à l’Agneau vainqueur !
Amen. Alleluia.

+ Godfried card. Danneels
Archevêque de Malines - Bruxelles

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22 décembre 2008 1 22 /12 /décembre /2008 14:17

    Face aux diverses difficultées touchant le monde étudiant, nous avons décidé de faire quelques choses pour eux en acceuillant tout étudiant pour notre soirée de noël à venir à l'aumônerie.
   Pour confier cette soirée au Seigneur rien de tel que participer à la célébration eucharistique qui a eu lieu au sein de notre aumônerie. Ce temps fut un moment où chaque étudiant a pu s'il le souhaitait confier ses intentions de prière.
   Après est venu le temps du repas préparé par notre remarquable cuisinière Pascale (merci pour cet excellent repas). 
                     

Durant le repas, chacun a pu échanger et partager des moments très conviviaux , regardez l'aperçu : 

  

Ce fut si extraordinaire que notre président en perdait ses moyens, il a donc fallut le faire manger :

  

   Mais questions organisations, notre président assure!!! il nous a présenté de manière très orginale avec le grand luminaire la suite de la soirée.  Nous nous sommes divisés en groupe pour réaliser des scketch sur le thème de la soirée, place à l'imagination, la créativité et le rire!!!

 

 

  Pour continuer cette soirée, nous avons fait appel un Dj renommé : Floran. Il a su mettre tous les étudiants sur cette scène!!! Eh oui pas toujours facile de contenter tout le monde... Mais il a su, voyez!!

 

   Voilà quelques informations sur cette soirée, mais n'hésitez pas à consulter l'album. Même si la soirée est fini, n'hésite pas à venir crêcher à notre aumônerie l'année prochaine!!! Nous sommes toujours là !!

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14 décembre 2008 7 14 /12 /décembre /2008 20:38

         Cette soirée est devenue une coutume à l'aumônerie, puisque chaque année nous allons rencontrer les personnes âgées de la maison de retraite du Front de Sarthe pour passer une agréable soirée ensemble.


         Cette année, nous avons joué au jeu des incollables. Nous nous sommes répartis en groupes, des étudiants avec des résidents car dit-on : la diversité d'un groupe en fait sa force. Pour ce jeu cela pouvait être intéressant car chaque groupe devait répondre à des questions touchant des domaines variés comme : les loisirs, l'histoire, la citoyenneté...

 

        
Ensuite, nous avons entonné des chants de noël accompagné au synthé par le mari de Pascale. Merci pour cet accompagnement de chants répondant aux attentes des personnes âgées.

 

        
Suite à cela, les résidents nous ont invités à partager les confiseries qu'ils nous avaient préparées. Véritable festin pour nos chers étudiants!!


Nous avons ainsi clôturer cette soirée dans la joie car ces échanges inter-générations sont très riches et les résidents ont apprécié notre venue leur rappelant leurs petits-enfants!! Voici pour finir, cette vidéo qui exprime bien ce que nous avons vécu durant cette soirée.

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