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6 avril 2008 7 06 /04 /avril /2008 19:55
Le GPS est un instrument bien utile aujourd'hui pour sillonner nos routes et ne pas se perdre sur les échangeurs d'autoroutes. Arrivant dans une ville inconnue, nous avons encore ce fabuleux petit appareil qui va nous indiquer de tourner rue des Eglantines pour aller ...
Mais pour aller où, en fait car comme nous le dit la Première Lettre de Pierre nous errons souvent, et déplorons d'avoir  une vie sans but; il nous arrive à des moments de nos vies à se demander ce que nous faisons là , coups de blues, coups de spleen, échecs sentimentaux, études ininteressantes, concours inaccessibles, maladies problèmes familiaux.
Et il nous faut le GPS, pour nous chrétiens c'est le Christ ressuscité notre GPS. G comme Gloire rendue au Père, P comme ce Père qui nous aime et nous appelle à notre vocation et S comme Sauveur et Salut. Avec notre GPS, qui reste avec nous, nous  n'avons plus à despérer car nous remettons tout en Jésus notre espérance, nous reprenons la route comme les pélerins fortifiés , qui surmontent les péripéties de leur trajet et nous avons joie nous aussi d'annoncer le juste chemin à celles et ceux qui se perdent sur des voies périlleuses. . Reste avec nous notre GPS!
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24 mars 2008 1 24 /03 /mars /2008 07:17
mariemadeleineange.jpg
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21 mars 2008 5 21 /03 /mars /2008 06:04

Giotto_baiser_judas.jpg  

Le vendredi saint, Jésus nous donne, par sa mort, une leçon sublime, divine, héroïque sur l'amour. Il avait tout donné: sa vie auprès de Marie dans la pauvreté et l'obéissance. Trois années de prédication où il a révélé la Vérité, rendu témoignage au Père, promis l'Esprit Saint et fait toutes sortes de miracles d'amour.

Trois heures sur la croix d'où il pardonne à ses bourreaux, ouvre au larron les portes du Paradis, nous donne sa Mère et finalement son Corps et son Sang qu'il nous avait peu avant mystiquement donnés dans l'Eucharistie. Il lui restait sa divinité.

Son union avec le Père, sa très douce et ineffable union avec lui, qui l'avait rendu si puissant sur la terre en tant que Fils de Dieu et si royal sur la croix, ce sentiment de la présence de Dieu devait disparaître de son âme; l'union ne devait plus être ressentie; il devait se sentir désuni en quelque sorte de Celui avec qui il affirmait être un: "Le Père et moi nous sommes un" (Jn 10,30). En lui l'amour était anéanti. La lumière éteinte. La Sagesse se taisait.

Il s'est donc fait rien pour nous faire participer au Tout. Ver de la terre (cf. Ps 22,7) pour faire de nous des fils de Dieu. Nous étions séparés du Père.

Il était nécessaire que le Fils, en qui nous sommes tous récapitulés, éprouvât la séparation du Père. Il devait expérimenter l'abandon de Dieu pour que nous ne soyons jamais plus abandonnés. Il avait enseigné que personne n'a de plus grand amour que celui qui donne sa vie pour ses amis.

Lui, la Vie, donnait tout de lui-même. C'était le sommet, la plus belle expression de l'amour.

Son visage est caché derrière les multiples souffrances de nos vies qui ne sont rien d'autre que Lui. Oui, parce que Jésus abandonné est l'image du muet: il ne sait plus parler. Il est l'image de l'aveugle: il ne voit pas; du sourd: il n'entend pas. C'est l'homme épuisé qui gémit. Il est au bord du désespoir. Il est l'affamé d'union avec Dieu. C'est l'image du désenchanté, du trahi, on dirait un raté. Il représente le peureux, le timide, le désorienté. Jésus abandonné est ténèbres, mélancolie, contradiction. Il est l'image de tout ce qui est étrange, incompréhensible, de ce qui est à la limite du monstrueux, car c'est un Dieu qui crie: "Au secours!". Il est le solitaire, le délaissé... Il apparaît inutile, exclu, traumatisé...

Nous pouvons donc le reconnaître en chaque frère souffrant. Alors, en approchant ceux qui lui ressemblent, nous pouvons leur parler de Jésus abandonné.

Et pour ceux qui se voient semblables à lui et acceptent de partager son sort, il devient: pour le muet, la parole; pour l'ignorant, la réponse; pour l'aveugle, la lumière; pour le sourd, la voix; pour l'épuisé, le repos; pour le désespéré, l'espérance; pour celui qui est séparé des siens, l'unité; pour l'anxieux, la paix. Grâce à lui, les personnes se transforment et le non-sens de la souffrance acquiert un sens. Il avait crié sa question à laquelle nul n'avait répondu, afin que nous ayons une réponse à chacune de nos questions. Le problème de la vie humaine est la souffrance. Quelle que soit sa forme, aussi terrible soit-elle, nous savons que Jésus l'a prise sur lui et transforme, par une alchimie divine, la souffrance en amour. Je peux dire par expérience que dès que nous accueillons avec joie une souffrance, pour être comme lui, puis nous continuons à aimer en faisant la volonté de Dieu, la douleur, si elle est spirituelle, disparaît, et si elle est physique, son joug devient plus léger.

Notre amour pur, au contact de la souffrance, la transforme en amour; d'une certaine façon, il la divinise, comme si se poursuivait en nous si l'on peut s'exprimer ainsi la divinisation que Jésus a faite de la souffrance. Et, après chaque rencontre avec Jésus abandonné aimé ou accepté, je trouve Dieu de façon nouvelle, dans un rapport plus intime, plus ouvert, dans une unité plus pleine.

La lumière et la joie resplendissent à nouveau; et avec la joie, la paix qui est le fruit de l'Esprit. La lumière, la joie, la paix particulières, qui émanent de ceux qui étreignent la souffrance, frappent même les personnes les plus difficiles et les désarment. Cloués sur la croix, nous devenons mères et pères d'âmes. Son effet est donc une grande fécondité. Comme l'écrit Olivier Clément: "Et l'abîme un instant ouvert s'emplit du grand Souffle de la résurrection".

 Les manques d'unité disparaissent, les déchirures sont recousues, la fraternité universelle resplendit, on assiste à des miracles de résurrection, un nouveau printemps naît dans l'Église et dans l'humanité.

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19 mars 2008 3 19 /03 /mars /2008 21:33

undefinedAu cours du dernier repas avec ses disciples, Jésus se met à leur laver les pieds. Pierre le regarde, commente Jean Vanier : « Toi, me laver les pieds ? Pierre a un sens de la hiérarchie. Il y a des gens en haut et des gens en bas. (...) Il a un sens de ce que sont nos sociétés : la vision d’une pyramide. Quelques personnes en haut et une foule immense en bas. Ceux qui sont en bas sont ceux qui sont inutiles, les personnes avec des handicaps, les malades mentaux peut-être, les chômeurs, les immigrés ». Jean Vanier explique que Pierre ne veut pas se laisser laver les pieds car « ce n’est pas dans l’ordre des choses - Ce n’est pas dans notre culture ». « L’attitude de Pierre est une réaction normale et naturelle », précise-t-il.

« Ce qui est plus surprenant, poursuit Jean Vanier, c’est la réaction de Jésus : ’Si je ne te lave pas, tu n’as pas de part avec moi. Le Royaume ne fera plus partie de ton héritage. Tu n’es plus mon disciple’ ». « Ce sont des paroles très fortes, commente le fondateur de l’Arche. Il est parfois difficile pour nous de les prendre au sérieux ».

« Pierre panique, explique Jean Vanier. ’Alors Seigneur, pas seulement les pieds mais aussi les mains et la tête’. (...) Jésus dit : ’Comprenez-vous ce que je vous ai fait ? Vous m’appelez Maître et Seigneur, et vous dites bien, car je le suis. Si donc je vous ai lavés les pieds, vous aussi vous devez vous laver les pieds les uns aux autres’ ».

« Pourquoi Jésus nous lave-t-il les pieds et pourquoi demande-t-il que nous nous lavions les pieds les uns aux autres ? » s’interroge Jean Vanier.

Le fondateur de l’Arche distingue trois significations du lavement des pieds : un signe pour transmettre l’amour, un moyen pour enseigner le service de l’autorité, un moyen pour transformer la pyramide en un Corps.

Le lavement des pieds comme signe d’amour

« Je crois que j’ai un peu découvert cela en vivant à l’Arche, raconte Jean Vanier. (...) Nous avions accueilli Eric qui avait vécu 12 ans dans un hôpital psychiatrique. Il était aveugle et sourd. Il ne pouvait pas marcher et ne pouvait pas manger seul. Il vivait avec une angoisse immense au-dedans de lui, et un grand désir de mourir. (...) Il vomissait tout ce qu’il mangeait. Il n’était qu’angoisse et douleur. (...) Notre mission à l’Arche était de l’aider à passer de l’envie de mourir à l’envie de vivre, d’un sentiment de n’être bon à rien à un sentiment d’avoir de la valeur et de l’importance, d’un sentiment de culpabilité à un sentiment de confiance. (...) On ne peut faire cela qu’à travers le pouvoir transformateur de l’amour ; l’amour qui nous révèle que nous sommes beaux ; l’amour qui comprend notre souffrance et nos besoins l’amour qui fait la fête ; l’amour qui investit de puissance et nous appelle à être et à être nous-mêmes ; et un amour qui pardonne ».

« Mais comment pouvions-nous révéler cela à Eric ? poursuit Jean Vanier. Il était aveugle et sourd. Nous n’avions que nos mains pour communiquer ; ces mains incroyables que Jésus nous a données, les mains qui donnent la sécurité, la paix, qui manifestent l’amour, mais aussi des mains qui peuvent blesser, prendre, abuser. J’avais le privilège de donner son bain chaque matin à Eric, de tenir son petit corps nu dans mes bras. (...). A travers nos mains (pas seulement les miennes mais celles de toute notre communauté), nous lui avons fait comprendre qu’il était beau. Il faut toucher les gens avec un profond respect, avec tendresse. Nos mains, et pas seulement nos voix, peuvent transmettre l’amour de Jésus. Le Verbe s’est fait chair pour que notre chair devienne parole. Notre chair, par la puissance de l’Esprit Saint, peut révéler leur valeur aux personnes, peut leur révéler qu’elle sont chéries et aimées de Dieu ».

« Quand il s’agenouille devant les pieds de ses disciples Jésus sait que le lendemain il sera mort », explique Jean Vanier. « Mais il veut avoir un moment avec chaque disciple. Pas seulement pour dire au revoir. (...) Il veut les toucher, toucher leurs pieds, toucher leurs corps, les toucher avec tendresse et amour. Il dit peut-être une parole à chacun, il les regarde dans les yeux. Il y a un moment de communion ».

Pour Jean Vanier, le lavement des pieds et l’institution de l’Eucharistie sont intimement liés. « Nous sommes appelés à manger le Corps du Christ pour pouvoir nous laver les pieds les uns aux autres », explique-t-il.

Le fondateur de l’Arche insiste sur ce moment particulier de Jésus avec ses disciples. « Jésus a dû toucher ces corps avec un immense respect, avec amour et tendresse, déclare-t-il. Il leur révélait, d’une façon spéciale, son amour pour eux. Mais il leur révélait aussi que chacun d’eux était beau, choisi, et aimé, pour continuer cette mission, qui est sa mission, d’annoncer la bonne nouvelle aux pauvres, la liberté aux prisonniers, pour redonner la vue aux aveugles, la liberté aux opprimés, et pour annoncer une année de grâce et de pardon ».

« Lorsque Jésus lave les pieds de ses disciples, il lave les pieds pour montrer que c’est leurs cœurs qu’il veut purifier. Jésus ne juge pas, il ne condamne pas ; il purifie. Il veut seulement que nous soyons un peuple de la résurrection - des personnes debout (...) qui croient au don de Jésus pour pouvoir apporter ce don à notre monde brisé ».

Le lavement des pieds pour enseigner le service de l’autorité

« Mais Jésus est aussi là comme un serviteur, un esclave. Il est là pour nous (...). Il nous dit : ’Je veux vous servir ; je veux vous investir d’un pouvoir. Vous allez recevoir l’Esprit Saint et vous devez continuer ce que j’ai fait. Vous devez être remplis de l’Esprit de Dieu, afin que vous puissiez aller jusqu’aux extrémités de la terre pour transmettre cet amour à tous les peuples de toutes les cultures’ », explique Jean Vanier.

« Jésus sait que ce n’est pas facile d’exercer l’autorité, poursuit-il. (...) Jésus, à genoux à nos pieds, nous dit : ’Je veux que tu exerces ton autorité dans l’amour. Comme un bon berger qui donne sa vie pour ses brebis. Exercer l’autorité avec tendresse et amour. Exercer l’autorité dans la vérité et dans un esprit de pardon’. (...) Jésus nous montre comment il veut que nous exercions l’autorité, non pas du haut d’un piédestal mais tout près des personnes. Il faut confirmer les personnes, (...) les aider à grandir dans la liberté et la vérité ».


« Nous savons ce qu’est la pyramide, déclare Jean Vanier. Quelques uns ont le pouvoir, les privilèges et la richesse. Au bas de la pyramide, se trouve la masse immense des gens pauvres et brisés. Jésus a voulu transformer cela en un Corps. C’est pour cela que Paul, dans la première lettre aux Corinthiens parle de l’Eglise comme d’un Corps, dans lequel chaque personne est différente et chacun est important. (...) Les parties du corps qui sont les moins présentables, les plus faibles, sont nécessaires et doivent être honorées. (...) Jésus veut que nous découvrions l’Eglise comme un Corps où chacun est important, où la fonction de responsable est importante parce que le corps en a besoin. Mais nous sommes tous comme frères et sœurs dans le même Corps qui est inspiré, motivé et habité par l’Esprit Saint ».

« Le lavement des pieds est symbolique, poursuit-il. C’est un geste qui parle de service, de communion, de pardon mutuel, de co-existence, d’unité. Mais Jésus insiste tellement sur le lavement des pieds, sur le fait de toucher le corps, que je crois que ce symbole est aussi un sacrement. C’est quelque chose de très spécial. Ce n’est pas seulement parler avec les personnes mais reconnaître que leur corps est le Temple de Dieu. Reconnaître que l’Esprit de Dieu vit en elles. Reconnaître que leur corps est précieux. Je crois que Jésus insiste sur le lavement des pieds parce que nos corps sont précieux, parce qu’ils sont Temples de l’Esprit ».

« Nous sommes appelés à être en communion, à nous pardonner les uns les autres, à nous servir les uns les autres, et à découvrir que nous sommes appelés à marcher ensemble » affirme-t-il.

« Nous sommes tous appelés à nous faire petits. Le chameau ne peut pas passer par le trou d’une aiguille. Mais nous qui avons de l’autorité ou du pouvoir, sommes d’une certaine manière appelés à être comme des petits enfants. Nous sommes appelés à nous servir dans la droiture et la vérité comme Jésus. Et si nous nous faisons petits, nous pourrons peut-être passer par le trou de l’aiguille », déclare-t-il.

« Maintenant, c’est ce que nous allons faire, en signe de ce désir de suivre l’humble Jésus, le Jésus brisé, le Jésus en larmes, le Jésus qui se fit tout petit et s’humilia plus encore. D’une certaine manière nous voulons suivre Jésus sur ce chemin qui descend. C’est aussi le chemin par lequel nous nous élèverons avec lui pour être un signe de la résurrection dans notre monde », conclut Jean Vanier.

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19 mars 2008 3 19 /03 /mars /2008 07:43
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19 mars 2008 3 19 /03 /mars /2008 07:40
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19 mars 2008 3 19 /03 /mars /2008 07:25
Quelques informations sur les offices des Ténèbres

www.musicologie.org/sites/o/office_des_tenebres.html


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17 mars 2008 1 17 /03 /mars /2008 07:10
Mourir et ressusciter avec toi !
Seigneur crucifié et ressuscité,
Apprends-nous à affronter
Les luttes de la vie quotidienne,
Afin que nous vivions dans une plus grande plénitude.
Tu as humblement et patiemment accueilli
Les échecs de la vie humaine,
Comme la souffrance de ta crucifixion.
Alors les peines et les luttes
que nous apporte chaque journée,
aide-nous à les vivre
comme des occasions de grandir
et de mieux te ressembler.
Rends-nous capables de les affronter
Patiemment et bravement,
Pleins de confiance dans ton soutien.
Fais-nous comprendre
Que nous n'arrivons à la plénitude de la vie
Qu'en mourant sans cesse à nous-mêmes
Et à nos désirs égoïstes.
Car c'est seulement en mourant avec toi
Que nous pouvons ressusciter avec toi.
Que rien, désormais,
Ne nous fasse souffrir ou pleurer
Au point d'en oublier la joie de ta résurrection !
Tu es le soleil éclaté de l'Amour du Père,
Tu es l'espérance du bonheur éternisé,
Tu es le feu de l'amour embrasé.
Que la joie de Jésus soit force en nous
Et qu'elle soit, entre nous, lien de paix,
D'unité et d'amour.
Amen


merci au site
spiritualite2000.com
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16 mars 2008 7 16 /03 /mars /2008 20:15
 Mais quelle est notre mission de baptisé ?
 
Le temps du carême nous permet de réfléchir à notre engagement envers le baptême. Le baptême constitue la source de la vie et l’entrée dans l’Eglise.
Le sacrement de baptême comporte beaucoup de notion c’est pourquoi je parlerais de sa mission essentielle qui est généralement omis alors qu’elle me parait importante. Lors de l’onction du Saint-Chrême, le prêtre dit : « Tu es maintenant baptisé : le Dieu tout-puissant, Père de Jésus, le Christ, notre Seigneur, t’a libéré du péché et t’a fais renaître de l’eau et de l’Esprit-Saint. Désormais, tu fais partie de son peuple, tu es membre du Corps du Christ et tu participe à sa dignité de Prêtre, de Prophète et de Roi. Dieu te marque de l’huile du Salut afin que tu demeures dans le Christ pour la vie éternelle. »
Par ton baptême, tu es Prêtre, Prophète et Roi.
 
Comment pouvons-nous être Prêtre ?
Etre Prêtre signifie Célébrer c’est-à-dire prier, participer aux célébrations pour implorer et rendre grâce au nom et en faveur de l'humanité entière, recevoir les sacrements….
Etre Prêtre, nous permet de puiser la force dans le Seigneur notamment par la lecture de la parole de Dieu, pour pouvoir ensuite réaliser les deux autres fonctions.
Comment être Prophète ?
Etre Prophète signifie Annoncer par l’évangélisation des personnes qui nous entourent à l’université, dans notre famille…L’annonce se fait part nos paroles mais aussi nos regards, nos actions, nos gestes… Pour témoigner du Christ et de son message, et pour proclamer que, quoi qu'il arrive, il faut aimer et espérer.
Comment pouvons-nous être Roi ?
Nous sommes Roi mais pas à la manière du monde mais à la manière de Jésus-Christ. Dimanche, nous avons célébrer les rameaux et proclamer Jésus comme Roi. Jésus n’était pas le Roi que les juifs attendaient puisqu’ils voulaient un roi puissant et fort. Jésus était Roi car il était  Serviteur. Etre Roi signifie servir. Dans notre vie, tous les services que nous rendons nous font participer la dignité de Roi pour œuvrer à la construction d'un monde plus humain et plus fraternel.
 
Par notre baptême, nous sommes appelés à être Prêtre, Prophète et Roi. C’est à la fois une dignité et une mission. C’est trois fonctions ne peuvent être séparées et découlent l’unes des autres. Pour l'une et pour l'autre, rendons grâce de tout cœur à celui qui nous a choisis pour ne former ensemble « qu’un seul corps », l’Eglise.
 
Préparons-nous à la célébration pascale, en vivant en Prêtre, Prophète et Roi !! Et « Si vous êtes ce que vous devez être, vous enflammerez le monde ». Ste Catherine de Sienne.  
 
Bonnes Fêtes Pascales !!!
                                                                                                                            Pauline
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15 mars 2008 6 15 /03 /mars /2008 05:46
jesus_rameaux.jpgPsaume 24

Psaume de David. La terre est à l'Éternel, et tout ce qu'elle contient, La terre habitable et ceux qui la peuplent.
2 Car c'est lui qui l'a fondée sur les mers, Et qui l'a affermie sur les courants d'eaux.
3 Qui pourra monter à la montagne de l'Éternel ? Et qui subsistera dans le lieu de sa sainteté ?
4 Celui qui a les mains nettes et le cœur pur, Qui ne porte pas son âme vers la vanité Et ne jure pas pour tromper.
5 Il emportera la bénédiction d'auprès de l'Éternel Et la justice de la part du Dieu de son salut.
6 Telle est la race de ceux qui le cherchent, De ceux qui recherchent ta face ; [tel est] Jacob !
7 Portes, élevez vos têtes, Haussez-vous, portes éternelles ! Et le Roi de gloire entrera.
8 Qui est-il, ce Roi de gloire ? C'est l'Éternel, le fort et le puissant, L'Eternel, puissant dans les combats.
9 Portes, élevez vos têtes, Elevez-les, portes éternelles ! Et le Roi de gloire entrera.
10 Qui est-il, ce Roi de gloire ? C'est l'Éternel des armées, C'est lui, le Roi de gloire.
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